In Da Zepf's HyperSpace

Mais où étais-je donc pendant ce temps là ? Pas à Veracruz ni en Suisse, mais  à me balader dans un pays qui m’est cher.

En voiture, à pied et depuis ce matin plus ou moins en bateau (une sombre histoire de carburateurs et d’entrée d’air, mais je vous raconterai)…

Voici quelques images via un animoto, fonctionnalité découverte chez l’ami Francis, en attendant que je trouve comment faire un slideshow simplement dans WordPress…

PS : comme je suis en train de tester un plugin de publication automatique sur Twitter, ne vous étonnez pas si ça tangue un peu…

Et bien aujourd’hui n’est pas coutume, pas de château de sable, et oui j’avais beau jeu de râler hier…

Au lieu de ça, une visite à ma grand-mère qui est donc l’arrière-grand mère de La Zepfinette (ça me fait toujours quelque chose de réaliser qu’elle aura connu ses deux arrières-grands-mères).

Au milieu des dessins, jeux de carte et autres connivences, coup de fil d’une de mes cousines à notre grand-mère, et au détour de la conversation, l’idée d’une rencontre imprévue.

C’est ainsi que le trajet du retour s’est trouvé ponctué d’une visite à  mes cousines – leurs maris – enfants – amis, tous réunis dans le lieu mythique de notre enfance…

Voilà comment je me suis retrouvé à déguster une despé au bord de la piscine en attendant qu’un barbecue aussi sympathique qu’improbable nous régale avant que chacun ne reparte, dès demain, aux 4 coins de la France…

C’est étonnant ce qu’une plage peut contenir de sable et la constance déstabilisante des enfants …. vous l’aurez compris, j’ai recommencé les châteaux de sable !

En fait j’ai refait le même qu’hier, enfin presque le même parce qu’il fallait qu’il soit un peu différent quand même… donc pas tout à fait la même forme un peu moins profond le trou, mais un peu plus large, pas le même nomfre de tours, mais la même obstination qu’un constructeur de polder de la grande époque à « renforcer ici », remonter une muraille là, et « attention papa, il y a une vague » sans blague, étonnant lorsqu’on commence la construction à 50 cm du bord et que la marée (heureusement anémique comme les locaux) est montante…

Tout ça pour entendre demain matin : « Ah b in il faut qu’on recommence la mer a tout cassé »…

Donc demain, je passe à la plateforme du batiment et je vous cimente tout ça !

Enfin, non demain c’est le marché, donc ça va plutot être razia sur le miel d’acacia et autres petites productions locales.

Sinon, si vous connaissez un truc pour regrouper tous mes fluxs rss (blogit, ce blog, etc) dans un seul, je suis preneur.